❤ VOTRE PENSÉE DU JOUR AVEC TOUT MON AMOUR ❤
La pensée d’aujourd’hui nous rappelle une vérité à propos du fait de dire un vrai non. Faites-vous partie de ces gens qui disent le contraire de ce qu’ils pensent par peur de déplaire? Si vous êtes comme moi, vous savez à quel point c’est déplaisant de satisfaire les autres à notre détriment.
Qu’est-ce qui cause notre insatisfaction?
On se sent insatisfaits, quand on croit des pensées qui nient ce qu’on est réellement et renient ce qu’on veut vraiment. On se sent mal, aussitôt qu’on dit ou fait des choses qui sont contraires à nos besoins et nos valeurs. On se maltraite, dès qu’on trahit ou rejette ce qui nous tient à cœur.
En matière de trahison de nos valeurs, la taille n’a pas d’importance.
Même un geste aussi banal que boire le thé qu’on nous a offert, lorsqu’on préfère un bon café, aura pour nous un goût tellement amer. Pourquoi? Parce que le fait de croire toute pensée qui dit le contraire de notre vérité n’arrivera jamais à nous satisfaire. Y compris celle qui prétend qu’on est obligés de plaire.
Je ne sais pas pour vous, mais pour moi, la peur de déplaire remonte à l’enfance.
Rien ne comptait plus à mes yeux que le désir de plaire à ma mère. Je l’aimais tellement que je lui disais tout le temps oui, même quand je voulais lui dire non. Bien sûr, la tendance s’est poursuivie jusqu’à ce que je commence à mieux savoir ce qui est bon pour moi et à mieux voir pourquoi je ne le faisais pas.
Alors, le désir de me satisfaire, et de le faire par amour pour moi, est devenu plus important que la peur de déplaire aux gens. Même si je tiens toujours à satisfaire mon entourage, je trouve un peu plus facilement le courage de dire non quand je pense non, parce que ça me fait du bien dire oui à mes besoins.
Attention! Dire un vrai non quand on pense non, ça ne veut pas dire qu’on le fait CONTRE autrui. Ça veut simplement dire qu’on le fait par amour POUR nous. Un point, c’est tout.
Ainsi, quand on nous demande : «Veux-tu une tasse de thé?», lorsqu’on préfère le café, on peut répondre : «C’est gentil et non merci!» Imaginez la satisfaction qu’on ressent de dire la vérité sans l’obligation de s’expliquer ni de se justifier.
À un moment donné, nous en avons assez de croire les chères pensées qui nous forcent à boire l’amère potion de l’insatisfaction. Dire un vrai non quand on pense non devient une priorité. Chaque fois que nous osons passer à l’action, nous obtenons en récompense plus d’aisance et de satisfaction.
L’expérience vous tente? Mon coaching, mes livres, mon blogue et moi sommes là pour vous. Vous aimez ce que vous avez lu? Merci tellement de partager votre point de vue et continuons de pratiquer la pensée consciente!
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